happy-bambou

Aquarelle Hivernale.

Jeudi 21 août 2008 à 19:57

écrit par happy-bambou

Lundi 7 juillet 2008 à 14:53

Je sais bien que plus personne ne passe par ici.

Et alors, je ne fais pas ça pour vous, juste pour moi.

Je me trouve de plus en plus enervante, de plus en plus débile, et vexante.

Et si j'ai envie d'échapper au monde quelques instant

Me retrouver seule, des pensées plein la tête....

Et voila. Enfin, je pense tenir quelque chose, pouvoir m'échapper quelques breves minutes. Mais si c'est pour entendre les gens autour de moi, dont j'avais oublier leur existance, me criller :" Héléna !!!! Arrete ! tu joue trop fort !!! "

Mais j'été déja au minimum du son possible. Pourquoi veulent ils tous me sortir de mon Monde... Pour une fois que je pouvais rêver, et etre bien.

Cette musique, il me fallait la savoir. déniché des partitions, s'pas difficile. Jouer quand on se retrouve tout seul devant un instrument presque inconnu, s'pas facil. Mais la difficulté vaincu peut témoigné d'une réelle envie de jouer. D'une réelle passion peut etre ...

 

>> http://fr.youtube.com/watch?v=LCBoaALWnQw

écrit par happy-bambou

Samedi 31 mai 2008 à 1:09

Et toutes ces choses si belles a mes yeux. Vous voyez les choses celon les apprioris déja tout fait et que l'on vous a appris, et je regarde les choses celon un autre point de vue. Parce que une chose que vous nomerez de sale et de dégoutante, je la regarderai différement et la trouverai merveilleuse. Parce qu'il ne suffit pas de voir mais de regarder, tout comme écouter et non entendre, ressentir et non sentir. Parce que la beauté peut se trouver n'importe où. Même la où vous pensez qu'il n'y a que de choses sales, répugnante, commune, et laides. Juste parce qu'il suffit de porter un autre regard de se qui nous entoure. Juste ? pour certaine personne il est tant difficile de se décrocher de leur vision des choses et de leur apprioris déja fondés et prouvés...

J'ai pris certaine de ces choses en foto, malgrés que mon apareil soit de mauvaise qualité et que je manque beaucoup de ces moments, par fautes d'emerveillement si grand que je puisse m'en décrocher.

(succetion de photos prises par mon portable ^^' )

 

 

écrit par happy-bambou

Samedi 31 mai 2008 à 0:53

Voila bien longtemps que je ne suis guère venue ici. un petit espace temps où j'ai oublier ce blog...Je ne veux pas qu'il sombre, mais voila mon inspiration est a un point si bas que je ne sais que dire, que dire qui puisse donner un peut d'oxygène a ce blog. Parce qu'il est très profond dans l'océan et qu'il manque d'air, et que le seul air que je dispose a présent est insuffisant pour nourrir un espoir. Mais ceci n'est qu'une phase. Oui je reviendrai et changerai cet article contre un bien moins piteux. Car mon inspiration ne peut fuir longtemps. Parce que je la rattrappe toujours. Parce que mon imagination n'as plus de limites, les a dépassées depuis un bon moment.

Je suis tellement désolée pour ces mots balancés a travers une page blanche, la noirciçant grossièrement. Mais peut être que pour vous cette page était Noire et peut etre que je l'ai illuminé de cette couleur orangeâtre, qui donne du mal aux yeux.

écrit par happy-bambou

Mardi 15 avril 2008 à 23:08

D'écrire n'importe quoi... une chose sans sens, juste imaginé...une autre vie, dans un autre monde,dans un autre espace temps... Une vie qui n'aurait auqu'une ressemblance avec la mienne.. Juste inventer...

                       La corde se balançait doucement sous le souffle léger du vent. Son grincement aigu et régulier cadençait le silence trônant. La brume ayant envahi l'espace, rendait chaque chose invisible à moins d'un pouce. Mais le froid et l'humidité amplifiaient cette mélodie agaçante. La lune, pleine cette nuit, commençait à paraître sous cette épaisse couche de nuages noirs. Seule sa lueur perçait la nuit tombante, et seul ce son de ténèbres était audible. Le couvre feu avait sonné, et plus personne ne s'aventurait au dehors. Seul ce corps sans vie, se balançant tristement au bout de cette corde grinçante. Seule cette âme perdue. Seule mon ombre indistincte aux pieds de cette personne inconnue. Fixant son regard pensif, perdu, mort. Seule dans cette nuit terrifiante, ne pouvant plus bouger, ne pouvant plus me détacher de ce regard, de ces images qui défilaient sans cesse en moi. Pourquoi tant de haine, tant de violence, tant d'injustice… la brume s'épaississait, et je savais qu'il me serai impossible de retrouver mon chemin. Depuis l'après midi je mettait figé devant tant d'horreur.  Les foules avaient défilé, et plus ce grincement s'éternisait, moins les passants se montraient. Je ne pouvais comprendre. Comment comprendre pourquoi ? Pourquoi comprendre comment ? le froid ayant enfin engourdi tout mon corps, je ne sentais plus rien, le vent sur mes joues, faisant virevolter mes cheveux noirs corbeau, la faim, la soif, la fatigue. Tout cela s'était échappé de mon corps affaissé, couché sur le sol. Seul cette musique ne voulait pas s'enfuir, s'accrochait à ma tête, et la fixait à ce regard triste. Je voulais crier, arracher le cœur de ma poitrine qui ne cessait de cogner mon esprit. Mais je ne pouvais pas. Ma voie venait de s'envoler à travers les cieux comme toutes les choses qui m'appartenait. Seul ce cœur me restait et m'empêchait d'écouter ma tête qui ne voulait que fuir cet endroit maudit. Même mon souffle s'était stoppé face a cette folle cadence que mon cœur prenait, rythmé par ce grincement insupportable. Si je tentais de rattraper ce souffle, juste pour exhaler, je sais que, ici, je l'aurais retenu trop longtemps.

 

 

Un choc. Le noir.

 

 

 

 

         J'ouvrais les yeux sur un nouveaux monde. Le visage engourdi, posé sur ces pavés glacés.  Tout était flou. Le corps avait disparu. La ville se réveillait. Jour de marché. Une personne passa devant moi, m'ignora. J'essayais de me lever. Le froid de la nuit m'avait pétrifié. Je faisait tout mon possible. Une autre personne. Je venais de parvenir a soulevé un doigt, qui, juste avant, été collé au sol. Deux autres personnes. Ma main venait de s'élevé à 4 centimètre des pavés, suivit de ma tête fébrile. Dix autres personnes. Je m'asseyais avec beaucoup de mal, lentement. La ruelle était maintenant bruyante, bondé de tout ces gens. La foule éclairé par ce seul soleil froid. Je me levais, un léger son sortant de ma bouche, sans que je puisse le contrôler. Pourquoi tout ces gens courraient t'il ? Où allaient-ils ? D'où venaient-ils ? tant de rapidité, de vitesse. Mes paupières se fermèrent lentement pour s'ouvrir a nouveaux. J'avançais a contre courant. Des bousculades violentes, me poussant vers le sol. Seule contre tous. Je progressais, mais ne savais pas où aller. Mais ce courant était bien trop puissant pour mes muscles encore engourdis et glacés… Je me laissait emporté, ne luttais plus. Un demi-tour me permis de ne pas chuter et de poursuivre ce chemin forcé.

 

 

 

 

 

 

 

écrit par happy-bambou

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