happy-bambou
Aquarelle Hivernale.
Dimanche 1er mars 2009 à 21:30
C'est étrange. J'ai l'impression d'avoir perdu toute inspiration. J'ai l'impression de manquer de couleurs, de lumières. Comme s'il y avait un voile noir devant mes yeux. J'ai aussi cette impression d'être entre deux espaces lieu : Ici ou la haut ?
C'est étrange. J'ai l'impression d'avoir perdu tout vocabulaire. J'ai l'impression de manquer de Mots, d'expression. Comme s'il y avait un voile noir devant mon front. J'ai aussi cette impression d'être entre deux espaces temps : Hiver ou Printemps ?
C'est étrange. J'ai l'impression d'avoir perdu tout sentiment. J'ai l'impression de manquer de personnes, de sourires. Comme s'il y avait un voile noir devant mon coeur. J'ai aussi cette impression d'être entre deux espaces rêves : Le tien ou le mien ?
écrit par happy-bambou
Dimanche 4 janvier 2009 à 0:11
Je ne vous vois que très rarement, et je vous aime de tout mon coeur... Est-ce vous qui avez apporter cette neige pour le reveillon du nouvel an ? En tout les cas, se fut un plaisir ce soir la... être dehors, sous les flocons et sur la neige juste accumulée... Un nouveaux monde se redessinait, et nous étions la, avec nos rires heureux et puissant... Bien sur il fut un moment ou vous eûtes trop froid... Je restais seule sous cette neige, ne pouvant effacer ce sourire de mon visage... j'écrivais dans la neige, des mots qui me venaient a l'esprit... N'osant écrire ton nom de peur qu'il soit visible le lendemain...
AvanT dU frOid aVec bOnhEur
EnSuiTe, On anNonCe Du FroiD eNcoRe, avEc plAiSir...
écrit par happy-bambou
Samedi 13 décembre 2008 à 17:21
Je me sens amoureuse, plus que jamais.
écrit par happy-bambou
Vendredi 28 novembre 2008 à 20:39
Je me levais ce dimanche matin, les yeux à demis-clos... Trois lents pas me menèrent jusqu'à la fenêtre blanche. Je n'y croyais pas, je ne pouvais pas, rêvais-je encore ? Et je suis restée la, à cette fenêtre... sortir, j'en avais besoin. Ouvrant la porte, je voyais, je sentais les flocons, ces flocons... Pas de gros flocons, mais c'était déja ça, je respirais l'air qui emplissait mes poumons de fraicheur... Et je me sentais bien, regardant la douce neige disparaitre au contact du sol... regardant cette merveille tomber légèrement, virevolté au grés du doux vent... Et pour une fois non dégringoller du ciel, mais danser, danser sur la mélodie du chant du vent et des arbres... Comme des bulles, éphémère magie, qui m'emerveillera toujours, légèreté du ciel, qu'il emporte avec lui...
Mais tout s'arrête, Non éternel... Je rentre, le souffle court, la chaleur de l'habitat envellope mon corps... je m'allonge sur mon lit, souriant... Et la, la brulure entre mes doigts... Quel plaisir ! quelle douceur que de ressentir cette sensation, La fraicheur de mes mains s'échappant sous l'action de la brulente atmosphère interieur, brulant ces dernières.... J'agrandis alors mon sourire, l'hiver est pour moi, officiellement la...
écrit par happy-bambou
Samedi 27 septembre 2008 à 18:51
Le début d'une nouvelle saison, la fin d'une autre.
Une a une, tombent lentement du haut des arbres, virevoltent au grés du doux vent, dégringollent de leur sommet pour tomber sur le sol déja froid de l'hiver qui approche. Une à une, change de couleur, de nuances, vert étincelent, vert nocturne, vert citron, jaune citron, jaune pale, orange clair, orange sombre, rouge rouille, rouge pourpre, marron leger, marron foncé... Un nouveau monde se redessine, Tout un univers, d'un ton, d'une odeur, d'un temps, parvient à gagner du terrain, poussant l'été bien installé par ce vent puissant qui change tout sur son passage. Mon esprit, est la, du sommet d'un arbre, bien placé depuis le début de l'été, le vent innatendu par mon manque de prévision, d'attention, de notion du temps, il m'emporte avec lui, loin de tout ce que j'avais, et me repose les pieds sur terre... les responsabilités m'attendaient la, à même le sol... Je les évite, le plus possible, et lève la tête, observe les cieux et ces ombrages au dessus de moi, ephémères.
Les yeux fixés sur cet horizon, changeant à chaque seconde, je m'émerveille. Parfois une à une, tombe lentement du haut de mes yeux, mes cheveux virevoltant au grés du doux vent, elles dégringollent de leur sommet pour éclatés sur ce sol déja froid de l'hiver qui approche. Et pourtant, il me reste ce sourir, incontrolable pour cette beauté de la nature. D'ou viennent elles ? J'ai l'impression pourtant d'etre heureuse, vraiment heureuse, je le sens et le ressent. Et pourtant, elles sont la, cause de la fatigue ou de l'émotion, je ne sais pas. Un frisson, un bien être... Suis-je la seule à apprécier le froid ? adorer sentir ces frissons parcourant mon corps, sensible à la nouvelle fraicheur espéré. Sentir mon corps essayer de se proteger contre tout ces changements, sentir ma peau se serrer se rétracter...
Une à une, tombent lentement du haut des cieux, J'aimerais déja qu'elles puissent virevolter au grés du violent vent glacial, mais elles ne font que dégringollé de leur sommet et eclatent sur le sol, pas assez froid, de l'automne qui est déja la.
écrit par happy-bambou